- Les Etats- unis ne peuvent pas entrer dans les ajustements sans La Turquie et l’Arabie-Saoudite.
- Les Etats- unis n’auront plus de papiers de force ni de nouvelles armes, tandis que le temps passe.
- La Syrie et Yémen sont les deux théâtres de la confrontation et de l’ajustement.
- L’existence de l’Arabie-Saoudite en dehors de la Syrie est devenu une conclusion d’avance.
- La Turquie utilise les combats en nord de la Syrie comme une plate-forme pour faire une allusion d’intervention sous un titre d’une opposition qui n’existe plus.
- L’Arabie-Saoudite utilise les pressions de l’argent et les observations affin d’étouffer les ajustements au Yémen et la réalisation d’équilibres placés sur la table de nouveau.
- La décision du conseil de la sécurité autour de Yémen, n’a pas été utile sans une septième saison pour changer les balances.
- Le menace turque d’intervenir, n’a pas été utile pour modifier l’attitude de la Syrie et son mouvement militaire dans le nord et le sud.
- Du point de vue d’Etats- unis, Il est permit d’utiliser la même nouvelle cartouche par les même armes de la négociation.
- L’entrée de la Turquie pour le transfert des restes de Soliman shah et son tombeau des territoires Syriens, est une nouvelle cartouche dans une ancienne arme.
- La fuite de Mansour Hadi ou utiliser sa libération par les rebelles et le re-déplacer pour assembler une mobilisation politique et militaire d’Aden en face de Sanaa est une nouvelle cartouche saoudien dans une ancienne arme.
- Rien dans les balances de forces en Syrie et au Yémen, n’changera pas affin de la présence sur les tables de la négociation.
2015-02-22 | عدد القراءات 1707