* Des types ressamblants dans le comportement hésitant et faible où, le comportement de Francois Hollande le président de la France, Rajab Thaib Ardoghan le président de la Turquie, Tamam Salam le président du gouvernement libanais et Samir Jaajaa le chef des forces libanaises se ressemblent.
* Hollande s'est laissé hallettant derière le contentement d'Israél, pour l'acceptation des votes de juifs. Netanyahou est venu de les inviter à l'émigration et derière le finacement de Qatar. Alors des avions sans aviateur sont entrées pour explorer à Daash au nom d'Aljazira. Mais il ne peut pas avouer l'indispensable de la Syrie, alors il y envoie des députés, en prenant la fuite.
* Ardoghan a besoin de renoncer à la guerre contre la Syrie, pour bien éviter une catastrophe peut atteindre son perti. Alors il utilise les kidnappés militaires libanais comme une papier de négociation pour prendre la commande de l'echange entre les armés et la Syrie concernant les perdus et les arrêtés, en plein espoir d'ouvrir le canal du reculement.
* Salam s'était pressé dans l'implication de la modification du mécanisme du gouvernement en arrivant à un chemin bouché, sans la possibilité ni de reculer ni d'avancer, même ni de négociation qui peut mettre une fin de la crise des militaires et Arsal, alors il s'est arrêté au milieu du chemin, sans avoir l'audace de la liaison avec la Syrie.
* Jaajaa veut partager la représentation chrétiens avec le générale Aoun, par contre l'acceptation de la présidence d'Aoun, mais il a peur de la perte de la finance de Hariry qui met la main sur la moitié des députés chrétiens.
* les possesseurs des intérêts personnels sont lâches, même s'ils étaient intimidateurs et orgeuilleux.
Tran : Mahmoud Kabaa
2015-02-26 | عدد القراءات 1694