- Le meurtre par égorgement des deux soldats libanais par Daesh à montré que la broussaille libanaise est prête à s'embraser à la moindre étincelle de cette taille
-Il fit apparaître à Daesh les points faibles dans la composition du gouvernement et leurs effets sur ses décisions militaires comme sur l'Armée
-A Irsal, au lieu de laisser cette dernière achever de former une ceinture autour de ses jourourds (terres arides) et encercler les groupes armées dans la ville, on lui imposa un arrangement qui laissa la ville un champs ouvert, les jourourds un refuge sûr et un sanctuaire pour les groupes militaires et leurs otages
-Ainsi, Daesh paraît plus intransigeant des les négociations par l'égorgement des otages tandis que le gouvernement donnait l'image d'une mollesse et d'une pleutrerie sans pareils en acceptant d'échanger des prisonniers qui ont piloté les attentas-suicides et recruté les exécuteurs
-Le gouvernement libanais se refuse à coordonner avec son homologue syrien afin de garantir et couvrir la coopération de leurs armées respectives à travers les frontières, ce qui mettrait les groupes armés sous pression et les contraindrait à négocier avec des conditions différentes
-Le gouvernement tarde à demander à la justice d'exécuter les peines prononcées contre les terroristes arrêtés,surtout contre ceux qui encourent la peine capitale,ce qui lui permettrait de faire basculer l'équilibre de la terreur à son avantage. Mais il faut dire que cet atermoiement est une décision politique en rapport direct avec les négociations et diffère d'une libération judiciaire procédurale
La peur de la rue et de l'ébullition confessionnelle sont là mais le gouvernement roupille
2014-09-08 | عدد القراءات 1474