Nasser Kandille a écrit : la guerre prochaine est en train d'arriver

* Comme on dit toujours que la guerre se produit lorsque les intérêts opposés deviennent existentialistes.

Les concessions se considèrent comme une avoue d'échec égale l'échec lui-même tandis que chaque côté lit les balances et les forces d'une façon différente.

* Le temps n'est pas suffisant pour faire des guerres déplacées et sujette à interprétation et  à la confusion par rapport au triomphe et au l'échec.

* Depuis quatre ans, deux alliés se rencontrent et se combattent et la déduction est arrivée au point d'avoir besoin d'une nouvelle guerre.

* Cela ressemble au cas où deux chefs de deux armées s'égalisent en se combattant dans une guerre où ce qui triomphe dans ce duel sera le gagnant.

* Comme ça la guerre de Kalamoon s'avance aujourd'hui.

* Dans chaque guerre, ce qui se retire, lève le drapeau blanc.

Ce qui triomphe après une confrontation, s'annonce comme un gagnant du gâteau de la région.

* Avant le Kalamoon, tout ce quoi s'est passé en Idlib et au pont d'Al Shogor et aux frontières du Jourdain était une préface pour cette guerre.

* La préface était par la dispersion de forces ou par la guerre psychologique.

* Pendant deux mois seulement, tout sera regroupé en Kalamoon.

* La géographie qui dessine la sécurité d'Israél et celle de la résistance et de la Syrie soutenus par Iran et sa place régionale et avec la géographie se trouvent des foules suffisantes et un soutien aussi suffisant d'une guerre finale.

* Les négociations se déroulent et la guerre s'annoncera.

* Pendant quelques heures ces négociations seront déduits, soit qu'elles ont commencé avant ou après la guerre.

 Trad : Mahmoud Kabaa

2015-05-05 | عدد القراءات 1739