* La guerre de Kalamoon qui s'étend sur une grande géographie n'est plus finie.

Kalamoon s'étend en Liban jusqu'à Kosaire et le nœud militaire le plus difficile est celui qui se trouve en Arsal et ses Jarrods, soit par rapport à la complexité des habitants et de la géographie, soit par rapport au nombre des terroristes et la qualité des armes.

* Kalamoon s'étend en Syrie de Doma, du Zabadani jusqu'au désert de Homs en arrivant au lac de Katina situé en Akkar syrien.

Sans la liaison de ces axes et les nettoyer, le combat ne se considère pas fini.

* La guerre s'est finie du point de vue stratégique, mais le combat est encore.

* La guerre est comme d'habitude un ensemble de combats qui ne se finissent qu'en finissant la guerre.

* Voici, nous sommes devant un paradoxe ressemble à la guerre d'Ukraine que Butin a finit par une déduction ressemblant à celle de la péninsule d'île de Crimée tandis que les combats y sont restés malgré la fin de la guerre.

* La guerre de Kalamoon a le but d'empêcher la connexion entre la masse armé par les outils et les nombres au Nassera et Zabadani en arrivant à l'usine pour finir en Kenitra.

* La domination sur les Jarrods d'Al Jebbeh et la colline de Moussa et Al Barouh cela veut dire que la guerre s'est déduite.

* Il faut compléter ce qui est resté de la guerre de Kalamoon, mais elle est devenu au cœur de la guerre de la libération du reste de Daesh et d'Al Nasra en Liban et en Syrie et non pas dans la guerre de Kalamoon.

* Ce qui pourra arriver au désert de Homs arrivera au Raka.

Alors, la guerre a commencé et le Cid a dit..

Trad : Mahmoud Kabaa   

2015-05-18 | عدد القراءات 1735