* Le triple du mal contre la Syrie a commencé par les frères de Qatar, d'Egypte et de la Turquie suivis par les saoudiens Abdullah et Saoud et Bandar.

* Avec les élections turques, le châtiment syrien se complète en chassant ceux qui ont dévasté sa sécurité et son avenir.

* Mais, l'échec d'Erdogan se distingue de tous les autres.

* Ceux-là, leurs rôles sont secondaires sans la Turquie qui prend son importance du fait qu'elle soit leur couveuse.

* La Turquie est le voisin le plus proche des frontières de la Syrie.

* Le plus grand espace et du nombre des habitants, la quantité économique, la force de l'armée et de la ligne des frontières.

* La Turquie qui a l'hallucination de l'empire ottoman et ses exploits, elle était une recette de ceux qui voulait le mal de la Syrie pour qu'ils prennent la Turquie comme un stade d'annoncer ce mal.

* La Turquie des frères qui a conclu l'affaire la plus connue avec les Etats-Unis.

Cette affaire se basait sur l'idée que : donnez-nous l'Egypte et Tunis par contre vous pouvez prendre la Syrie.

* Le pari syrien était sur le temps et la patience.

* La confiance de la Syrie est qu'Erdogan et ses ressemblants ont besoin de la provocation pour leur donner un prétexte pour annoncer la guerre sous le slogan de la défense de la patrie et sa fierté.

C'est pourquoi la Syrie avait la patience pour longtemps en pariant sur le peuple turc et la folie d'Erdogan de provoquer ses composants à chaque fois qu'il subit l'échec.

* L'heure est venue après l'échec de l'Arabie-saoudite en Yémen, du rapprochement du compromis nucléaire, des triomphes de la résistance et la Syrie en Kalamoon et de la chute des animosités Zéro pour que les turcs dissent non à Erdogan.

Trad : Mahmoud Kabaa

2015-06-08 | عدد القراءات 1735