* A l'apogée de la parole internationale et régionale concernant l'approchement du départ du président syrien Bashar Al Asad, on dirait alors qu'Al Asad restera et eux, ils vont partir.
* D'abord, c'était le départ de Sarkozy, et puis le départ des deux Hamad et Morsi et al Ghannouchi et Hillary Clinton, on a dit que la suite est sur le chemin.
* Erdogan a subit la régression par les résultats des élections.
* La ligne de l'ascension est aux alliés de la Syrie.
* La Russie joint la Crimée.
* Prochainement, Iran va pour signer le compromis nucléaire.
* L'Arabie-Saoudite se soumettra aux Houthis.
* Daesh et les branches d'Al Quaïda font des émeutes dans l'Arabie-Saoudite, en Koweït , en Tunis et en France, ils vont boire de même verre empoisonné qu'ils ont amené à la Syrie, bien que le sang coulant est le notre, mais c'est la fin de la chute de leur sécurité.
* L'Egypte se transformera en place de guerre.
* Hezbollah cassera le dos d'Al Nasera et la tête de Daesh en Kalamoon.
* A Moscou, Erdogan et Mohamad Ben Soliman et Nabil Al Arabie diront qu'ils ont subit l'échec et ils ont besoin d'une réconciliation syrienne.
* Moscou les invitent à une alliance régionale avec Al Asad pour combattre le terrorisme.
* La Syrie mettra ses conditions pour que ceux-là arrêtent la coopération avec le terrorisme d'abord, et puis tout va bien.
* La fermeture des frontières et la poursuite de Daesh et d'Al Nasera et de tous les noms d'Al Quaïda, c'est une condition indiscutable.
* Ils hésitent, mais ils ramperont successivement à Damas pour obtenir le contentement d'Al Asad.
Trad : Mahmoud Kabaa
2015-07-02 | عدد القراءات 1774